C'est un clochard complètement ivre, qui pisse contre le mur de la mairie. A ce moment, un policier l'interpelle.
- Il est interdit d'uriner ici !
Le clochard répond :
- Vous ne savez pas lire ? (liberté, égalité, fraternité) :
"liberté", je pisse où ça me plait,
"égalité", tu es libre d'en faire autant.
Et le policier lui demande :
- Et fraternité ?
- Ben, tu serais un pote si tu me la tenais....!!!
jeudi 5 janvier 2012
Blagounette
mardi 3 janvier 2012
Le changement c'est maintenant !"
Extrait de la déclaration de François HOLLANDE
Je suis candidat à l’élection présidentielle pour redonner à la France l’espoir qu’elle a perdu depuis trop d’années. Les Français souffrent. Ils souffrent dans leurs vies : le chômage est au plus haut parce que la croissance est au plus bas ; la hausse des prix et des taxes ampute leur pouvoir d’achat ; l’insécurité est partout ; leurs emplois s’en vont au gré des fermetures d’usines et des délocalisations industrielles ; l’école, l’hôpital sont attaqués et n’assurent plus l’égalité entre citoyens ; l’avenir semble bouché pour eux et pour leurs enfants ; la jeunesse se désespère d’être maintenue en lisière de la société. Les Français souffrent aussi dans leur âme collective : la République leur paraît méprisée dans ses valeurs comme dans le fonctionnement de ses institutions, le pacte social qui les unit est attaqué, le rayonnement de leur pays est atteint et ils voient avec colère la France abaissée, affaiblie, abîmée, «dégradée».
La dépression économique est là, l’angoisse sociale est partout, la confiance nulle part. J’affirme avec netteté où se situent les responsabilités. Certes, depuis 2008, il y a la crise. Elle est le produit de la mondialisation débridée, de l’arrogance et de la cupidité des élites financières, du libéralisme effréné, sans oublier l’incapacité des dirigeants européens à dominer la spéculation. Il y a surtout les politiques injustes et stériles menées depuis dix ans, les fautes économiques et morales de ce dernier quinquennat. Il y a donc la responsabilité personnelle de celui qui est au sommet de l’Etat depuis cinq ans.
Un mandat se juge sur ses résultats, une politique sur sa cohérence, un caractère sur sa constance. Comme les choses seraient faciles si l’échec devenait une excuse, si l’expérience - même malheureuse - devenait une justification opportune de poursuivre et l’abandon des promesses, une preuve de courage ! Et pourtant, telle est l’ultime contorsion tentée par le président sortant : incapable de trouver une issue à la crise de la zone euro après seize «sommets de la dernière chance» en à peine deux ans, il voudrait qu’on lui laisse encore le temps d’y porter remède, sans qu’il nous indique - hormis la rédaction d’un nouveau traité européen - ce qui serait de nature à le voir réussir là où il a échoué. Impuissant face à la montée du chômage, le voilà qui convoque une ultime réunion avec les partenaires sociaux pour nous dire qu’il faut traiter avec plus de considération les demandeurs d’emploi. Indifférent aux creusements des inégalités après avoir multiplié les indulgences aux plus fortunés, il annonce, comme pour retrouver une soudaine vertu, qu’il taxera les transactions financières sans nous préciser quand - et comment le pourrait-il dès lors que la décision lui échappe dans son exécution ? …../….
vendredi 30 décembre 2011
François Hollande exprime sa solidarité
Pétroplus : faire redémarrer l'activitéà Petit-Couronne est une urgenceabsoluele 30 Décembre 2011 par Alain Rousset et Guillaume Bachelay Partager sur les réseaux sociauxOn ne peut que déplorer la mise à l'arrêt de la raffinerie Pétroplus de Petit-Couronne si elle venait à être confirmée. François Hollande exprime sa solidarité et son soutien aux salariés de cette entreprise et à leurs familles, ainsi qu'à l'ensemble des habitants et des élus de l'agglomération de Rouen. Il est urgent qu’un accord soit trouvé pour assurer le financement de ce secteur vital pour l’économie française et faire redémarrer cette raffinerie majeure de l'Axe Seine. Faute d'anticipation, le Gouvernement doit agir sans délai et peser auprès du groupe Pétroplus et de ses banques, afin que soit trouvée une solution rapide pour pérenniser l'activité industrielle et les emplois sur le site de Petit-Couronne. Personnes associées
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Le PSG : se sépare de A.KOMBOUARE
Antoine Kombouaré quitte le PSG
Communiqué de presse | 30/12/11 | 13:20
Après deux années au cours desquelles il a exercé avec passion les fonctions d'Entraîneur Général du PSG, Antoine Kombouaré quitte, à compter de ce jour, le Paris Saint-Germain.
Le PSG tient à remercier Antoine Kombouaré pour le professionnalisme dont il a fait preuve tout au long de sa collaboration et lui exprime tous ses vœux de réussite dans ses nouveaux projets.
Pour sa part, Antoine Kombouaré exprime sa gratitude au PSG pour la confiance qu'il lui a témoignée pendant ces années. Il demeure le premier supporter du Club et ne doute pas que le succès continuera à l'accompagner dans les années à venir.
jeudi 29 décembre 2011
la blague du matin
- Madame, vous êtes déjà allée en Angleterre ? | |
GPG CONCEPT |
la blague du matin
- Madame, vous êtes déjà allée en Angleterre ? | |
mercredi 28 décembre 2011
La blague du jour!
ENTERREMENT :
Un homme vient de mourir. Le curé, lors de la cérémonie, s’étend en éloges :
-C’était un bon mari, un excellent chrétien, un père exemplaire …
La veuve se tourne vers un de ses enfants et lui dit à l’oreille :
- Va jusqu’au cercueil et regarde si c’est bien ton papa qui est dedans.
la blague du jour :!!!
CONFESSION :
Un condamné à mort attend l’heure de l’exécution lorsqu’ arrive le prêtre :
- Mon fils, j’apporte la parole de dieu pour toi.
-Vous perdez votre temps, mon père. Dans peu de temps, je vais pouvoir lui parler personnellement. Avez-vous un message pour lui ?
mardi 27 décembre 2011
François Hollande : a dit !
lundi 26 décembre 2011
LE SMIC au 1er janvier 2012
Le ministre du travail, de l’emploi et de la santé a présenté un décret portant relèvement du salaire minimum de croissance (SMIC) à compter du 1er janvier 2012.
Le groupe d'experts, chargé de se prononcer chaque année sur l’évolution du salaire minimum conformément à la loi du 3 décembre 2008 en faveur des revenus du travail, a remis son rapport au Gouvernement. Il recommande que la prochaine revalorisation du SMIC au 1er janvier soit limitée à l’application des mécanismes légaux prévus par le code du travail. Cette préconisation vise à privilégier la politique actuelle de maîtrise des coûts salariaux et à ne pas pénaliser le développement de l’emploi, notamment peu qualifié, dans un contexte économique fragile.
En application des dispositions du code du travail, il convient pour procéder à la revalorisation au 1er janvier 2012 de retenir les critères suivants :
-
entre novembre 2010 et novembre 2011, les prix à la consommation (hors tabac) des ménages urbains dont le chef est ouvrier ou employé ont augmenté de 2,4 % ;
-
de septembre 2010 à septembre 2011, le taux de salaire horaire de base ouvrier (SHBO) a enregistré une hausse de 2,2 %, alors que les prix ont progressé de 2,1 % au cours de la même période, d'où une augmentation du pouvoir d'achat de 0,1 %. La moitié de l’augmentation du pouvoir d’achat du SHBO est donc de 0,05 %.
Les prix à la consommation (hors tabac) des ménages urbains dont le chef est ouvrier ou employé ayant augmenté de 2,1 % en octobre 2011 par rapport à novembre 2010, le seuil de déclenchement du mécanisme de revalorisation automatique du salaire minimum de croissance prévu à l’article L. 3231-5 du code du travail a été franchi en cours d’année 2011. Il en a donc déjà résulté une augmentation du taux horaire du SMIC de 2,1 % au 1er décembre 2011.
La revalorisation au 1er janvier 2012 tenant compte de cette revalorisation automatique intervenue en cours d’année, elle ne correspond donc qu’au reliquat d’inflation constatée en fin d’année et à la prise en compte de l’augmentation du demi-gain de pouvoir d’achat du SHBO sur l’année.
Après avoir entendu les membres de la Commission nationale de la négociation collective réunis le 15 décembre dernier, le Gouvernement a décidé, par application des dispositions légales de revalorisation, de fixer le montant du SMIC brut horaire à 9,22 € soit 1398,37 € mensuels sur la base de la durée légale du travail de 35 heures hebdomadaires.
Au total, l’augmentation du SMIC sur l’année sera donc de 2,4% : +2,1% au 1er décembre 2011 au titre de la revalorisation automatique liée à l’inflation et +0,3% au titre du reliquat d’inflation de fin d’année et du demi gain du pouvoir d’achat du SHBO.
Enfin, le taux du minimum garanti, qui sert notamment au calcul des avantages en nature dans les professions de l’hôtellerie et de la restauration, est revalorisé en tenant compte de la hausse des prix constatée de novembre 2010 à novembre 2011 (+ 2,4 %). Son montant s’élèvera à 3,44 € en métropole, dans les départements d'outre-mer et dans les collectivités d’outre-mer de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon.
MAYOTTE : L’égalité sociale est en marche ?
Le Smig versé à Mayotte sera aligné en trois ans sur le Smic de la Métropole
Le communiqué du ministère de l’Outre-Mer
Dans le cadre de la transformation de Mayotte en département d’Outre-mer, le Gouvernement a décidé d’aligner en trois ans le SMIG net mensuel versé à Mayotte sur le SMIC net mensuel de métropole.
La ministre de l’Outre-Mer, Marie-Luce Penchard, a salué cette décision, "qui constitue une avancée très forte à double titre : d’abord, cette convergence rapide du Smig marque l’attachement du Gouvernement à la réalisation de l’égalité sociale à Mayotte. Ensuite, cette augmentation se traduira par un gain de pouvoir d’achat pour tous les salariés payés au Smig à Mayotte : il s’agit là d’une réponse aux attentes exprimées par les Mahorais sur la vie chère".
Concrètement, cette décision signifie que, sous trois ans, les salariés payés au SMIG à Mayotte recevront chaque mois le même niveau de revenu que leurs homologues de métropole ou des Dom.
La ministre de l’Outre-Mer a chargé le préfet de Mayotte de présenter ces évolutions aux partenaires sociaux lors de la commission consultative du travail (CCT) qui se tiendra aujourd’hui à Mayotte.
Cette CCT sera aussi l’occasion d’exposer en détail les réformes engagées sur la protection sociale à Mayotte : mise en place des exonérations de charges sociales en faveur des entreprises et de l’emploi, création de cotisations pour l’assurance-chômage, retraite complémentaire ou encore le 1% logement, dans l’objectif d’étendre les droits sociaux à Mayotte.
Marie-Luce Penchard a indiqué que "l’ensemble de ces mesures traduit le travail considérable réalisé par le Gouvernement pour mettre en place concrètement la départementalisation, au bénéfice des Mahorais."
A l’issue de cette consultation locale, le Gouvernement sera en mesure d’adopter ces textes, ordonnances et décrets, lors d’un prochain Conseil des ministres.