info : 20/02/2012 16:00 : *Grande Parade nocturne à Basse-Terre | 19 février 2012 , La Ville de Pointe à Pitre a été gratifiée du déboulé qui précède celui du Mardi gras à Basse terre . | Quelques groupes présents : *Lynnag carnaval (nord basse terre), *Gwadom all stars, black marbre , *Pikanga ( Baie Mahault), Avan Van (Le Moule), |
vue sur la grande parade du dimanche 19 février 2012 à Pointe à Pitre : | ![]() | |
*Kontac, dégage Band,senat all stars, golden stars 114,Pirouli band | ![]() | |
*Soleil d’argent Guimbo all stars, Waka chiré Band, Magma , DTG Là | ![]() | |
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Grand spectacle de rue ,fascinant pour les touristes et les guadeloupéens | ![]() | ![]() |
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GPG CONCEPT ----------------- CARNAVAL GUADELOUPE 2012. ![]() | ![]() | ![]() |
L.hexadom@live.fr | Le RELAIS ULTRAMARIN |
lundi 20 février 2012
GUADELOUPE : Défilés Carnavalesques du 19 février 2012
samedi 18 février 2012
François HOLLANDE 2012
François Hollande invité de BFM TV à 18h19 Février 2012Partager sur les réseaux sociauxFrançois Hollande invité d'Olivier Mazerolles, pour l'émission BFMTV 2012, sur BFMTV
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18/02/2012 11:47 - AFP
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mercredi 15 février 2012
GUADELOUPE CARNAVAL 2012 : Temps fort du 18 au 22 février 2012
Le Weekend prochain la Guadeloupe et la Martinique seront en mode carnavalesque et ce pendant 4 jours consécutifs. _______________________ Le rythme sera endiablé par le son des tambours . EN MARTINIQUE :
| ![]() il y aura des groupes divers à pieds,défilés dans les rues.
Le lundi les hommes sont déguisés en femmes et les les femmes sont en hommes. Ce sont les mariages burlesques.
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dimanche 12 février 2012
MARTINIQUE : Claude GUEANT L’INDESIRABLE !!
![]() * En Martinique des manifestants ont protesté à l’arrivée à l’aéroport de Claude Guéant ministre de l’intérieur. Kouté Pou Tan !!! |
AFPGuéant continue le déminage de ses propos polémiques à la Martinique
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Le député apparenté PS de Martinique Serge Letchimy, qui était monté au créneau à l'Assemblée nationale, avait déclaré que le ministre n'était "pas le bienvenu" mais avait lancé un appel au calme. Une attitude qui peut être comprise à l'aune de la rencontre entre les deux hommes mercredi dans le bureau du président de l'Assemblée, où le ministre avait remis au député une lettre. Dans cette missive, publiée sur le site du quotidien France Antilles, Aimé Césaire -- le père en politique de M. Letchimy -- est abondamment cité et le ministre assure "faire siennes" les paroles de Césaire "qui résument l'engagement d'une vie au service de la France". Seuls sept élus et responsables locaux UMP avaient finalement rencontré de manière informelle et à huis clos M. Guéant à son arrivée. Dimanche en début d'après-midi, il s'est rendu à une réunion de militants UMP au Lamentin, commune voisine de Fort-de-France. "Il y avait 200 personnes, l'accueil a été très chaleureux, sa mise au point a visiblement été bien comprise, les gens se sont pressés autour de lui à la fin du meeting pour lui exprimer son soutien", a assuré à l'AFP son entourage. L'exercice était attendu car le terrain était aussi miné dans les rangs de la droite. L'UMP Martinique, en position inconfortable, avait dans la semaine fait savoir qu'elle ne "partageait pas les propos tenus par Claude Guéant" tout en déplorant le "comportement indigne et les propos injurieux" du député apparenté PS de Martinique Serge Letchimy, qui était monté au créneau à l'Assemblée nationale. M. Guéant comptait bien "s'expliquer" devant eux. "Je leur dirai qu'un malentendu a été créé, entretenu, que c'est bien sûr de la politique mais que ce n'est pas bien", a-t-il assuré, précisant au passage, à propos des "insultes" de Noël Mamère, députés Vert qui l'a qualifié de "petite frappe", qu'il étudiait la possibilité de porter plainte. Selon son entourage, "dans son discours de 50 minutes, il est revenu sur le bilan du président au niveau national et pour les outre-mer et souligné les incohérences du projet de François Hollande pour les outre-mer". L'atmosphère est bien à un déplacement politique. M. Guéant, avant de se rendre à cette réunion, avait expliqué qu'il était "tout à fait naturel" de rencontrer ces militants "d'autant plus qu'une campagne présidentielle approche". Et d'ajouter qu'il ne "doutait pas de la candidature" de Nicolas Sarkozy. Devant les militants UMP comme lors de chacune de ses interventions sur les médias locaux, qui devaient s'enchainer avant son départ lundi après-midi pour la Guadeloupe, M. Guéant n'a eu de cesse de revenir sur ce qui avait pu blesser les Antillais, qui ont souvent vu dans la polémique la résurgence du raisonnement qui avait mené à l'esclavage. "Je sais bien que la mémoire de l'esclavage est un souvenir particulièrement douloureux à l'esprit des Antillais mais je doute que quelque personne de bonne volonté que ce soit, membre de l'UMP ou autre, puisse contester que la France porte aujourd'hui des valeurs en matière de droits de l'homme telles que nous pouvons en être fiers", a-t-il ajouté, "sûr que les Antillais sont sur cette ligne".
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samedi 11 février 2012
GUADELOUPE : Victorin LUREL et Jacques GILLOT adressent une lettre ouverte à Claude GUEANT
07/02/2012
Après les déclarations de Claude GUEANT sur une prétendue inégalité entre les civilisations, les présidents du Conseil régional et du Conseil général de la Guadeloupe, Victorin LUREL et Jacques GILLOT, ont adressé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur, Claude GUEANT, pour lui indiquer qu’ils ne le recevraient pas lors de sa visite prévue en Guadeloupe la semaine prochaine :
« Monsieur le ministre,
Nous avons été informés de votre prochain déplacement en Guadeloupe et nous sommes au regret de vous faire savoir que nous ne pourrons vous y recevoir.
Fidèles à notre indéfectible attachement aux principes républicains et démocratiques, nous avons toujours veillé, en tant qu’élus de la Nation, à faire le meilleur accueil aux membres du Gouvernement en visite officielle aux Antilles, quand bien même nous ne partagerions pas les mêmes sensibilités politiques.
Mais aujourd’hui, c’est pleinement conscients de l’importance symbolique de notre geste, et mus par le même sens du devoir républicain, que nous avons pris la décision de ne pas vous accueillir en Guadeloupe.
Les faits sont malheureusement là, têtus : Par vos « dérapages » verbaux répétés et assumés à l’égard des étrangers et des Français issus de l’immigration, qu’ils soient d’origine roumaine, comorienne, ou de confession musulmane ; par votre circulaire qui durcit considérablement l’obtention de visas pour les étudiants étrangers qui aiment la France et qui souhaitent y
débuter leur vie professionnelle en mettant leurs compétences à la disposition de notre pays ;
par votre volonté sournoise d’interdire en pratique l’accès à la naturalisation à des immigrés présents sur notre sol de très longue date et qui ont démontré pleinement leur désir d’intégration ; par vos propos consternants sur la hiérarchie des civilisations, vous tournez résolument le dos aux valeurs fondamentales de la République, auxquelles nous Antillais, dont les ancêtres ont connu l’esclavage et la colonisation, restons attachés encore davantage que d’autres.
Certains ne veulent voir dans vos déclarations qu’une banale stratégie politicienne visant à séduire les électeurs du Front national, en vue des prochaines échéances électorales. Nous avons peine à croire que la vie politique française serait devenue, sous Nicolas Sarkozy, à ce point dévoyée, que la fin justifierait tous les moyens, même les plus immoraux. Aurions-nous donc perdu en France la boussole des valeurs humanistes et de tolérance qui fondent notre vivre-ensemble ? Nous, qui avons vu l’histoire bégayer avec l’abolition puis le rétablissement de l’esclavage, savons que subrepticement les heures sombres du passé peuvent derechef advenir.
D’autres, que vous cherchez à entretenir dans la peur d’une dépossession de leur identité « nationale », verront dans vos prises de position, un combat pour la défense d’une France menacée. Nous n’y croyons pas davantage, nous qui savons que notre pays, et c’est sa richesse et sa singularité, s’est construit au fil de l’Histoire grâce aux apports culturels successifs issus des différentes vagues d’immigrations, qu’elles soient européennes, ou plus récemment indochinoises, maghrébines, caribéennes, et africaines.
C’est ainsi qu’est aujourd’hui la France. C’est ce qui fait la France. C’est ainsi que nous l’aimons comme la grande majorité des Français l’aiment. Cette alchimie originale qui unit des bras de toutes les couleurs pour bâtir notre Nation, des coeurs enveloppés de peaux de toutes les couleurs pour aimer notre pays et des yeux de toutes les couleurs regarder grandir la France, ne constitue en rien une menace. C’est au contraire notre bien commun. C’est ce bouillonnement perpétuel des identités individuelles et collectives dans le creuset républicain qui forge notre identité commune. Nous n’acceptons pas que vous cherchiez à éteindre la flamme qui entretient ces mélanges féconds, ces métissages précurseurs et cette volonté commune de vivre ensemble. Nous n’acceptons pas davantage que vous stigmatisiez nos compatriotes musulmans ou issus de l’immigration maghrébine en mélangeant tous les concepts, en dressant les uns contre les autres et en hiérarchisant les civilisations tel un nouvel Arthur de Gobineau ou de nouveaux Ernest Renan et Jules Ferry égarés.
Nous ne souhaitons pas recevoir celui qui tient des propos dangereux pour l’unité nationale. En décembre 2005, afin de marquer son indignation suite au vote d’une loi reconnaissant « le rôle positif de la présence française outre-mer », Aimé Césaire avait refusé de rencontrer le ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, en déplacement en Martinique. Nous avions alors tous, outre-mer, salué la portée de son geste. Nous choisirons par conséquent, en toute modestie, de lui emboîter le pas. Nous n’irons pas vous accueillir à l’aéroport. Nous ne vous accueillerons pas personnellement dans nos collectivités. Et si vous souhaitez vous rendre dans ces institutions de la République qui vous restent malgré tout ouvertes, nous prendrons les dispositions nécessaires pour recueillir le message que vous voudrez éventuellement délivrer. »
C’pour rire !
Le père en colère:
- Non mais, tu as vu tes notes, Toto ! C'est lamentable. Je voudrais bien savoir si ton copain Ernest rentre chez lui avec de 0 et des 5 sur 20 sur son carnet...
Toto :
- Non, mais lui c'est différent, ses parents sont intelligents...
jeudi 2 février 2012
François Hollande 2012 : Quoi de neuf ?
Le fait du jour
François Hollande soutient les jeunes diplômés étrangers
François Hollande et Mireille Le Corre, responsable du pôle immigration-intégration, ont reçu le 1er février trois représentants du collectif du 31 mai afin de les soutenir et de leur présenter les solutions du candidat à la situation des jeunes diplômés étrangers.
GPG CONCEPT